Nouveautés

wir eltern's discute avec Avocat·eªs de l'enfant Suisse

«Malheureusement, nous parlons beaucoup sur les enfants et nettement moins avec eux», déclare Annegret Lautenbach, co-présidente de Avocat·e·s de l'enfant Suisse, dans l’entretien mensuel du magazine parental wir eltern de décembre 2025.
L’article met en avant l’importance de dégager clairement la volonté de l’enfant, d’identifier à quel moment un·e avocat·e de l’enfant est nécessaire et comment procéder dans ces situations.

RTS informe sur la Journée international des droits de l'enfant 20.11.2025, et dans l'émission le 18.11. sur l'engagement de Avocates de l'enfant Suisse,

Membres de Avocates de l'enfant Suisse s’engage à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant dans plusieurs régions de Suisse – notamment par la participation à des tables rondes en amont du film impressionnant sur les droits de l’enfant dans les procédures On vous croit! à Berne, Neuchâtel et d’autres lieux dans tout le pays.

Au centre de cet engagement se trouve le droit à la participation des enfants dans les procédures – un droit fondamental, en particulier pour les enfants et jeunes en situation de vulnérabilité.

La représentation qualifiée de l’enfant protège le témoin mineur

Le témoin de 12 ans dans une affaire de meurtre complexe et très médiatisée, concernant une fillette de 8 ans tuée dans la forêt de Köniz en février 2022, soulève la question de la sensibilisation à la représentation juridique des enfants :
si le garçon avait bénéficié plus tôt d’une représentation légale, aurait-il été moins affecté ?

Il est positif que la deuxième instance ait réagi en lui désignant une représentante qualifiée pour l'enfant.

Promouvoir la garde alternde: oui ou non?

L'Association Avocat·e·s de l'enfant Suisse a soumis dans les délais, jusqu’au 15 octobre, une prise de position à l’attention de la Commission des affaires juridiques du Conseil national concernant l’initiative parlementaire Kamerzin. Cette initiative vise à promouvoir la garde alternée. Du point de vue de l’enfant et de ses droits, l’Avocat·e·s de l'enfant se montre plutôt critique à l’égard de cette proposition.